La pandémie suscite le lancement d’une campagne de financement et l’adoption du principe de l’accès libre pour un théâtre communautaire.
Maintenir un lieu de spectacles et un théâtre professionnel est déjà une tâche colossale et complexe en temps normal, mais la pandémie a rendu ce travail beaucoup plus difficile.
Cette semaine, je pense beaucoup aux nombreux employés et bénévoles qui s’occupent des lieux spéciaux du Canada. Pour de nombreux lieux historiques, la pandémie entraîne la fermeture des portes et l’annulation d’activités, avec la perte de frais d’entrée, de ventes en boutique et autres revenus. La période est assurément éprouvante. Mais qu’arrive-t-il de ces sympathisants qui nous soutiennent : fidèles donateurs, commanditaires, bailleurs de fonds et membres? Quelle est la bonne façon d’entretenir ces relations alors que règne tant d’incertitude?
À l’approche du Mardi je donne de 2019 (le 3 décembre), le personnel de la Fiducie nationale a dressé une liste d’idées sur la façon dont un lieu historique peut tirer le meilleur parti de ce phénomène en plein essor.
Tout le monde aime les histoires – et les lieux patrimoniaux ont des histoires à raconter. L’histoire de votre lieu patrimonial est un élément essentiel de votre plan de collecte de fonds. Elle se retrouvera dans l’ensemble de votre documentation [dépliants, site Web, courriels et appels aux donateurs]. En la racontant de façon passionnante, émotionnelle, intéressante et inspirante, elle vous attirera des donateurs.
Le sociofinancement est la version médias sociaux de la collecte de fonds. Il s’agit d’une excellente façon de recueillir des fonds, mais également d’accroître la sensibilisation du public, de mobiliser les collectivités et d’élargir les auditoires. Tout projet de collecte de fonds dans votre collectivité atteindra cet objectif, mais dans le cas du sociofinancement, le monde entier est votre collectivité.