La faiblesse des partenariats influence la façon dont les histoires sont racontées sur les lieux historiques, limitant l’élaboration de stratégies d’interprétation efficaces qui attirent de manière efficace les citoyens et les visiteurs. Ce sont le plus souvent les exploitants qui s’occupent presque entièrement des activités d’interprétation avec l’aide de tiers et sous la supervision étroite des propriétaires des lieux.
Les propriétaires peuvent collaborer plus étroitement aux projets d’interprétation dans le cas de certains lieux publics, comme ceux de Parcs Canada, où les propriétaires possèdent l’expertise en matière d’interprétation. La programmation devient restrictive et laisse possiblement à désirer lorsque les propriétaires exercent trop de contrôle sur l’élaboration des activités d’interprétation ou lorsque les perspectives politiques d’un gouvernement en limitent le contenu.
Un autre problème répandu concerne la logistique entourant les programmes et les événements proposés au public, car les exploitants et les tiers se heurtent à des exigences de permis irréalistes ou à des politiques, des réglementations et un accès public restrictifs imposés par les propriétaires de sites.
Il arrive trop souvent que les lieux consacrent la majeure partie de leurs efforts à leur survie et qu’ils négligent le volet consacré à l’interprétation. Essayez de tenir une réunion par année du conseil d’administration ou du comité en regroupant tous les partenaires pour examiner les offres d’interprétation de l’année et pour commenter les succès et les difficultés de chaque événement. Orientez la discussion de manière à continuer de faire évoluer le programme d’interprétation.